Statement by Ms. TAKEHANA Chihiro, Counsellor, Permanent Mission of Japan to the United Nations, Organization of Work, Second Resumed Part of the 79th Session of the Fifth Committee of the United Nations General Assembly (Français / English)
2025/5/5
Déclaration de Mme Takehana Chihiro
Conseillère, Mission permanente du Japon auprès des Nations Unies
L’organisation du travail
Deuxième reprise de la 79e session de la Cinquième Commission
de l’Assemblée générale des Nations Unies
Nous souhaitons tout d’abord exprimer notre profond respect et notre sincère reconnaissance envers le travail remarquable accompli par les personnels déployés sur le terrain, ainsi que par tous ceux qui, en soutien, rendent ces activités possibles.
Dupuis plus de 60 ans, après la première opération de maintien de la paix, le Japon réaffirmait son engagement constant en faveur des opérations de maintien de la paix. Cet engagement se manifeste non seulement par des contributions financières, mais également par le déploiement de personnels dans des missions individuelles – plus récemment au Soudan du Sud – ainsi que par des initiatives telles que le Programme de partenariat triangulaire (TPP), qui offre des formations aux pays contributeurs de troupes, y compris ceux participant aux opérations de soutien à la paix de l'Union africaine.
A ce moment critique, nous sommes confrontés à deux défis majeurs. Premièrement, comme énoncé dans le Pacte pour l’avenir, les missions de maintien de la paix doivent mieux s’adapter à l’évolution des menaces. Deuxièmement, la crise de liquidité persiste et pourrait s’aggraver.
Dans ce contexte, la Cinquième Commission a la responsabilité essentielle d’examiner attentivement le budget proposé, afin qu’il reflète fidèlement les besoins opérationnels tout en garantissant une utilisation optimale des ressources limitées. Nous saluons et apprécions les efforts considérables des missions et du Secrétariat pour élaborer un budget fondé sur des scénarios réalistes. Cela dit, en excluant la MINUSMA, le budget global connaît une augmentation d’environ 2 %, soit 108 millions de dollars, par rapport à l’exercice précédent.
Le Japon est prêt à contribuer de manière constructive aux négociations, dans un esprit de collaboration en vue d’une conclusion opportune et équilibrée.
Dupuis plus de 60 ans, après la première opération de maintien de la paix, le Japon réaffirmait son engagement constant en faveur des opérations de maintien de la paix. Cet engagement se manifeste non seulement par des contributions financières, mais également par le déploiement de personnels dans des missions individuelles – plus récemment au Soudan du Sud – ainsi que par des initiatives telles que le Programme de partenariat triangulaire (TPP), qui offre des formations aux pays contributeurs de troupes, y compris ceux participant aux opérations de soutien à la paix de l'Union africaine.
A ce moment critique, nous sommes confrontés à deux défis majeurs. Premièrement, comme énoncé dans le Pacte pour l’avenir, les missions de maintien de la paix doivent mieux s’adapter à l’évolution des menaces. Deuxièmement, la crise de liquidité persiste et pourrait s’aggraver.
Dans ce contexte, la Cinquième Commission a la responsabilité essentielle d’examiner attentivement le budget proposé, afin qu’il reflète fidèlement les besoins opérationnels tout en garantissant une utilisation optimale des ressources limitées. Nous saluons et apprécions les efforts considérables des missions et du Secrétariat pour élaborer un budget fondé sur des scénarios réalistes. Cela dit, en excluant la MINUSMA, le budget global connaît une augmentation d’environ 2 %, soit 108 millions de dollars, par rapport à l’exercice précédent.
Le Japon est prêt à contribuer de manière constructive aux négociations, dans un esprit de collaboration en vue d’une conclusion opportune et équilibrée.